L’ardoise naturelle CUPA PIZARRAS donne une seconde vie aux dômes de la Basilique Sainte-Clotilde
Les dômes de la Basilique Sainte-Clotilde (Reims) ont récupéré leur éclat grâce à l’ardoise naturelle. Cet édifice de style néo-byzantin en forme de croix grecque et surmonté d’une coupole, a retrouvé une seconde vie avec une toiture en ardoise CUPA 4 Sélection Monument Historique, qui souligne la splendeur de ce joyau du patrimoine français.
Le 18 avril 2012, la Basilique Sainte-Clotilde a été endommagée par un incendie survenu lors de travaux de réparation de toiture. Le demi-dôme nord est presque entièrement détruit, mais les autres parties du monument et les reliques conservées dans la crypte n’ont pas souffert. La Ville de Reims a contacté le cabinet d’architecture Gissinger et Tellier pour conduire les travaux de restauration des toitures, confiée à Garnier Couverture (51).
Sélection Monument historique
Avec un format de 27×18 et une épaisseur de 5 mm, l’ardoise naturelle CUPA 4 était le meilleur choix pour la rénovation de cet édifice ancien, construit en 1896 selon les plans de l’architecte rémois Alphonse Gosset.
Fruit d’un tri intense et rigoreux, la Sélection Monument Historique accède aux exigences les plus strictes des maîtres d’ouvrages en quête d’une toiture durable, réalisée dans le plus grand respect des traditions ancestrales.
Placé sous le vocable de sainte Clotilde, la basilique rend hommage à l’épouse de Clovis qui fut à l’origine de la conversion du roi des Francs.
L’édifice s’inspire de la basilique Saint-Pierre de Rome et de l’église Saint-Augustin de Paris. Construite à l’instigation de l’archevêque de Reims, cette basilique devait être celle des saints et saintes de France.
L’archevêque de Reims sollicita tous les diocèses qui offrirent des reliques des saints ayant marqué l’histoire de France.
Celles-ci furent déposées dans la crypte où sont regroupés plus de cent vingt reliquaires et plus de deux mille reliques. La basilique est fermée pour des raisons de sécurité. Son réouverture est prévue en février 2015.